Le régulateur britannique autorise le partenariat entre Microsoft et OpenAI suite à une enquête sur la fusion.
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Le gendarme britannique de la concurrence a clos son enquête sur le partenariat entre Microsoft et OpenAI. Il a conclu que cet accord ne nécessite pas d'enquête approfondie.
L'autorité de la concurrence et des marchés (CMA) estime que le partenariat ne constitue pas une fusion. Elle se base sur les preuves disponibles et l'absence de contrôle de Microsoft sur OpenAI.
Microsoft a investi massivement dans OpenAI à ses débuts, mais d'autres investisseurs ont suivi. Softbank et Nvidia ont rejoint l'aventure après le succès de ChatGPT.
La CMA surveille de près les accords d'IA, face aux investissements croissants des géants de la technologie. L'an dernier, elle a approuvé des accords similaires impliquant Microsoft, Google et Amazon.
L'intelligence artificielle générative suscite un intérêt croissant, et les autorités de régulation veillent au grain. L'objectif est de garantir une concurrence saine et d'éviter les monopoles.
Questions
Qui a clos l'enquête sur le partenariat entre Microsoft et OpenAI?
Le gendarme britannique de la concurrence.
Qu'est-ce que la CMA estime concernant le partenariat?
Elle estime que le partenariat ne constitue pas une fusion.
Quels autres investisseurs ont rejoint OpenAI après Microsoft?
Softbank et Nvidia.
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