La confiance publique s'effrite : L'impact d'une mort erronée sur les inscriptions au don d'organes.

Des experts en transplantation constatent une augmentation du nombre de personnes qui révoquent leur inscription comme donneurs d'organes. Ils sont inquiets après des rapports selon lesquels on a failli prélever des organes sur un homme du Kentucky déclaré mort par erreur.

L'incident s'est produit en 2021 et, bien que les détails soient flous, l'opération a été évitée et l'homme est toujours en vie. Cependant, les registres de donneurs aux États-Unis et même en Europe sont touchés après la médiatisation de l'affaire.

La confiance du public dans le don d'organes est essentielle. Lorsque cette confiance est érodée, il faut des années pour la rétablir.

L'affaire soulève des questions sur la manière dont les médecins déterminent la mort et sur ce qui est censé se passer en cas de doute. Il est essentiel de s'assurer que tous les médecins effectuent les bons tests et qu'ils les font correctement.

Des médecins indépendants sont censés vérifier si une personne est réellement décédée avant le prélèvement d'organes. Des critères plus stricts pourraient rassurer le public sur le fait que tout est fait pour s'assurer qu'une personne est décédée avant le don d'organes.