La position défiante d'Erdoğan : un appel à la mobilisation en pleine tourmente politique.

Le président turc Recep Tayyip Erdoğan a défendu la condamnation de son opposant politique Ekrem İmamoğlu. Il a dit que ce n'était pas une décision politique, mais plutôt une pratique courante en Europe.

Erdoğan a cité des exemples similaires en Roumanie et en France pour justifier ses propos. Il a accusé l'Union européenne d'hypocrisie et de deux poids deux mesures.

Le président turc a critiqué l'absence de Marine Le Pen sur les bulletins de vote français. Il a également mentionné l'interdiction faite à Călin Georgescu de se présenter en Roumanie.

Erdoğan a promis de sévir contre tous ceux qui tenteraient de lui faire obstacle lors des prochaines élections. Il a affirmé qu'il ne tolérerait aucune opposition à son pouvoir.

Le président turc a conclu son discours en menaçant ses opposants et leurs familles. Il a déclaré que ceux qui oseraient le défier le regretteraient amèrement.